décembre 31, 2016
décembre 30, 2016
décembre 27, 2016
décembre 25, 2016
Rudolph...
Et voilà ... Rudolphe peut rentrer chez lui se reposer de sa course effrénée dans le ciel et sur les toits ... bien sûr avec les autres rennes et le Père Noël ...
Passez un beau dimanche ...
Passez un beau dimanche ...
décembre 23, 2016
décembre 19, 2016
favorite city
un petit tour à bruxelles
via le shopping city2 vers les galeries de la reine et du roi ...
admirer les belles vitrines remplies de bonnes choses ...
et profiter de la vie pendant un après midi ensoleillé
décembre 18, 2016
noël
Merci pour vos messages et marques de sympathie après mon « coup
de gueule » précédent. L'article "un auteur n'a pas de valeur" a été lu jusqu'à présent plus de 1300 fois sur mon blog,
puis aussi sur mon journal et page de Facebook, quelques milliers de personnes atteintes,
puis aussi sur mon journal et page de Facebook, quelques milliers de personnes atteintes,
l'article a été partagé, commenté ...
et j'espère qu'il a au moins le mérite d'ouvrir un peu les yeux de certains.
Une surprise par l'absence de réaction de certain(e)s lecteurs-lectrices ...
c'est étonnant,
mais bon,
des déceptions font partie intégrante de l'expérience, de la vie.
On sait à quoi se tenir.
n'empêche ...
c'est étonnant,
mais bon,
des déceptions font partie intégrante de l'expérience, de la vie.
On sait à quoi se tenir.
n'empêche ...
Ça fait quand même chaud au cœur de se rendre compte que l’on
n’est pas seul à s’indigner du comportement de certains soi-disant 'dirigeants' …
J’ai eu contact avec quelques autres auteurs,
mais finalement très peu.
Cela m'étonne, mais je pense que beaucoup se résignent.
Cela m'étonne, mais je pense que beaucoup se résignent.
En effet, comment
obtenir ses sous d’une société qui a tout dépensé…
Pourquoi payer des avocats pour finir avec probablement plus de frais que de bénéfice.
Ceci dit, je continue à essayer de récupérer quelque chose de
la version italienne de ma « frivolité »,
bien que là aussi,
je n’ai pas d’illusions quant à leur bonne volonté de résoudre un peu les nœuds de cet embrouille.
bien que là aussi,
je n’ai pas d’illusions quant à leur bonne volonté de résoudre un peu les nœuds de cet embrouille.
Nous voilà déjà arrivé à la fin de cette année.
Dans
quelques jours Noël, puis nouvel an …
je vous souhaite déjà de très beaux
moments à passer ces derniers jours de 2016 à fêter ou non,
à bien manger ou à faire attention à sa ligne,
à partir ou à rester chez soi …
mais surtout à faire ce que vous aimez de faire.
à bien manger ou à faire attention à sa ligne,
à partir ou à rester chez soi …
mais surtout à faire ce que vous aimez de faire.
Chez moi, l’ambiance est mis avec un sapin décoré, un peu moins haut que l’an passé
– j’ai un arbre artificiel en trois parties et là j’ai laissé tomber l’étage du dessous, le plus lourd et grand -
… et donc, le résultat est un arbre plus petit,
mais bien garni, illuminé de petites lampes LED bien blanches,
– j’ai un arbre artificiel en trois parties et là j’ai laissé tomber l’étage du dessous, le plus lourd et grand -
… et donc, le résultat est un arbre plus petit,
mais bien garni, illuminé de petites lampes LED bien blanches,
des cœurs et losanges en papier-roulé-collé-recyclé,
des bonhommes de neige bienveillants,
de la céramique, argile comme de la peluche, ...
Ici et là quelques décors dispersés dans mon living,
pour mettre l’ambiance et je pense être comme beaucoup d’entre vous …
on aspire à ce que les jours se rallongent un peu, à souhaiter un beau ciel bleu.
pour mettre l’ambiance et je pense être comme beaucoup d’entre vous …
on aspire à ce que les jours se rallongent un peu, à souhaiter un beau ciel bleu.
En attendant,
on illumine son chez soi avec beaucoup de bougies.
Joyeux Noël à vous tous !
pour celles qui sont sur Instagram ...
j'essaye d'y poster chaque jour au moins une photo.
j'essaye d'y poster chaque jour au moins une photo.
Tapez ViDerTextil !!!
décembre 08, 2016
un auteur n'a pas de valeur ...
On approche la fin de l’année et l’envie de faire un petit
bilan me semble nécessaire.
Quitte à en déplaire certains et certaines, je ne peux
pas rester silencieuse sur une situation injuste.
Je vous invite à vous installer avec une tasse de thé, café ou plus solide si vous désirez. Le champagne par contre, ne me semble pas du tout approprié.
Je vous invite à vous installer avec une tasse de thé, café ou plus solide si vous désirez. Le champagne par contre, ne me semble pas du tout approprié.
L’année 2016 a bien commencé avec un cinquième livre en
route (Locker Hooking).
Je l’appelais mon n°5 à moi. Finalement il est arrivé dans les rayons qu’en septembre.
À temps pour les dédicaces lors du salon CréationsSavoirFaire à Paris. Hélas, certain(e)s d’entre vous auront peut-être remarqué l’emplacement vide lors du dernier salon CSF à Paris.
La cause ?
Je l’appelais mon n°5 à moi. Finalement il est arrivé dans les rayons qu’en septembre.
À temps pour les dédicaces lors du salon CréationsSavoirFaire à Paris. Hélas, certain(e)s d’entre vous auront peut-être remarqué l’emplacement vide lors du dernier salon CSF à Paris.
La cause ?
Le 21 octobre dernier, j’ai reçu la nouvelle que mon éditeur (le groupe
qui englobe les sociétés Carpentier-TuttiFrutti) rentrait en liquidation
judiciaire.
En sachant que les droits d’auteur ne sont calculés qu'après une année de vente et payés fin
du mois d’octobre … je trouve que la date de mettre en liquidation est une bien
belle coïncidence.
En plus, c’est à peine quatre semaines après que mon nouveau livre a été mis en vente. On peut se poser la question de l’utilité de sortir encore un livre quand on sait que fin du mois on ne peut plus payer les auteurs …
Un auteur n’est pas un créancier qui a un privilège quelconque, il est considéré comme « fournisseur ».
Je suis un simple fournisseur avec mes créations et mon savoir-faire pour faire fonctionner ce bureau d’édition et ses multiples directeurs-administrateurs-dirigeants-présidents (je marque en pluriel, car c’est ainsi), hauts responsables que l’on retrouve dans bien d’autres sociétés comme administrateurs, directeurs …. Ça ne doit pas être un job bien prenant si l’on peut cumuler à cette allure.
Le travail fourni, qui fait rentrer l’argent dans une de leurs sociétés, ne leur incombe pas. L’argent rentre par le travail de l’auteur, via ce qu’en fait le graphiste, les employés de la boîte. Les gestionnaires s’occupent de gérer….
L’on pourrait croire qu’avec un livre vendu, le gestionnaire mettrait de côté la partie qui ne lui appartient pas contractuellement, et dépense le reste à sa guise et selon sa vision de gérer une société. Euh, et bien non.
Écrire un bouquin, créer ses modèles, les exécuter, les faire vérifier, les fournitures … cela est un investissement que l’on essaie de récupérer un peu par la vente qui suit.
C’est vrai qu’il faut être idéaliste et vouloir partager sa connaissance pour s’y mettre, car on sait d’avance que l’on n’en deviendra jamais riche en € (par contre en contacts humains, si, c’était très enrichissant).
Néanmoins … on espère récupérer un peu de cet investissement et ce travail fourni.
Entre auteur et maison d’édition, il y a un contrat en bonne et due forme, qui crée un lien légal, mais aussi une relation de confiance. Sans cette dernière, pas possible de travailler, car l’auteur doit faire confiance quant au nombre de livres vendus, quant à la promotion et la diffusion à faire … pour tout.
Et j’ai travaillé avec plaisir et en bonne entente avec le personnel travaillant chez Carpentier.
C’était un engagement réciproque à fournir de beaux livres, instructifs et qui apportent ce petit plus aux lecteurs-lectrices.
Mais apprendre que l’on n’est que créancier chirographaire (c’est-à-dire : en droit français, un créancier simple, ne disposant d'aucune sûreté particulière à distinguer des créanciers privilégiés, comme le fisc ou les salariés d'une entreprise en difficulté) … ça fait mal.
Je ne toucherai probablement jamais rien sur les ventes réalisées depuis juillet 2015, ni sur la vente des livres encore en circulation … puisque le liquidateur dit déjà maintenant que la perspective de recouvrement de la créance est très incertaine …
et comme toutes les histoires judiciaires prennent des mois et des mois …
Cela veut donc aussi dire qu’un contrat de salarié dans cette maison d’édition, vaut plus qu’un contrat entre la maison d’édition et un auteur - alors qu’il faut savoir que sans auteurs … la maison d’édition n’est rien et n’existerai même pas.
Je ne sais pas comment les autres auteurs de la maison vivent cette situation.
Moi je suis révoltée.
Une rupture de contrat aussi brusque et sans compensation quelconque… Ça laisse un gout très amer en bouche.
On m’écrit que les gestionnaires ont tout fait pour trouver des solutions …. Quand je pose la question ‘quelles sont ces solutions recherchées ?’… on reste silencieux.
Encore …
Je l’encaisse mal, je le dis franchement. Il n’y a pas de honte à avouer qu’une situation est pénible à vivre, même sachant qu’il y a pire malheurs dans le monde.
Tous les investissements du passé se balaient d’un coup, sans pardon. Et cette façon d’agir, ma confiance donnée qui est bafouée ainsi, ça peine, ça déboussole. Mon engagement à livrer qualité et expertise, foutu ainsi à la poubelle, c’est merdeux.
En plus, la communication passe très mal … pas de tél, pas moyen de communiquer autrement que par mail (un seul directeur). D’un côté il vaut mieux, ainsi tout est écrit.
Par contre il faudrait encore recevoir des réponses à ses questions … pendant quatre semaines d’envois multiples de mails, ne recevoir que de temps à autre une réponse avec ‘je vais me renseigner’ … c’est décevant et surtout, c’est irrespectueux en plus d’être très frustrant. C’est un manque total de politesse et de savoir-vivre.
C’est montrer de la part de l’autre que vous ne valez pas une réponse, que vous êtes insignifiant.
Il m’a déjà fallu plusieurs semaines avant d’avoir un relevé des ventes réalisées jusqu’en juin 2016. Il m’a fallu deux déplacements pour récupérer mes affaires du dernier bouquin à cause d’un rendez-vous non respecté de l’autre partie.
Et hélas, … ce n’est pas tout.
Au printemps 2016 je découvre fortuitement via internet que mon livre sur la frivolité au crochet est vendu en italien … depuis janvier 2014 !
Cette vente du droit à la traduction dont je devais être payé 50% au plus tard en octobre 2015… je n’en ai rien su !
Donc pas informée, pas payée non plus, et certainement pas maintenant après cette débâcle.
Le livre « Chiacchierino con l'uncinetto di Viviane Deroover » est d’ailleurs toujours en vente – sur amazon.it, sur différents sites de VPC.
J’ai écrit à l’édition à Rome, au bureau italien à Milan en ce qui concerne les droits d’auteur à payer … on se renvoie la balle comme un jeu de pingpong. Je crains que ce jeu va durer encore un peu...
Du coup, j’en suis à me remettre en question.
Réfléchir et essayer de digérer tout ça.
Prendre du recul. Pouvoir relativiser l’inquiétude.
Arriver à vider sa tête préoccupée….
Se rendre compte que l’on est trop naïve et trop confiante vis-à-vis des autres.
Faut-il investir dans une action juridique qui n’a d’ailleurs aucune garantie d’apporter un résultat positif ?
Est-ce que tout ceci doit être vu comme une opportunité? Est-ce le moment pour virer de cap ?
Faut-il changer sa vision sur le partage et la transmission de ses connaissances?
J’ai beau être gentille, attentionnée, de caractère positif, il faut aussi assumer, en tant qu’indépendant, charges sociales et obligations financières.
Ça stresse un peu. Le corps encaisse jusqu’à un certain degré. Là, j’ai mal.
D’après certains, il y aurait encore assez de livres en circulation, mais je ne saurais dire combien ni pour combien de temps.
Désolée de ne pouvoir vous donner plus d’infos.
J’ai encore quelques exemplaires pour mes cours et ateliers suivants. Et puis … ?
Du coup, les démos annoncées pour promouvoir mon petit dernier Locker-Hooking sont annulées, vu que le bouquin ne sera peut-être plus en vente … ou peut-être que si ... pour deux trois semaines … ou plus … ou moins …. Là encore, aucune notion du nombre…
Comment voulez-vous organiser des activités dans les prochaines semaines/mois ?
Pourtant, ça me tenait à cœur de vous communiquer ma passion pour la récup, pour les fils, les tissus, les textiles…
En plus, c’est à peine quatre semaines après que mon nouveau livre a été mis en vente. On peut se poser la question de l’utilité de sortir encore un livre quand on sait que fin du mois on ne peut plus payer les auteurs …
Un auteur n’est pas un créancier qui a un privilège quelconque, il est considéré comme « fournisseur ».
Je suis un simple fournisseur avec mes créations et mon savoir-faire pour faire fonctionner ce bureau d’édition et ses multiples directeurs-administrateurs-dirigeants-présidents (je marque en pluriel, car c’est ainsi), hauts responsables que l’on retrouve dans bien d’autres sociétés comme administrateurs, directeurs …. Ça ne doit pas être un job bien prenant si l’on peut cumuler à cette allure.
Le travail fourni, qui fait rentrer l’argent dans une de leurs sociétés, ne leur incombe pas. L’argent rentre par le travail de l’auteur, via ce qu’en fait le graphiste, les employés de la boîte. Les gestionnaires s’occupent de gérer….
L’on pourrait croire qu’avec un livre vendu, le gestionnaire mettrait de côté la partie qui ne lui appartient pas contractuellement, et dépense le reste à sa guise et selon sa vision de gérer une société. Euh, et bien non.
Écrire un bouquin, créer ses modèles, les exécuter, les faire vérifier, les fournitures … cela est un investissement que l’on essaie de récupérer un peu par la vente qui suit.
C’est vrai qu’il faut être idéaliste et vouloir partager sa connaissance pour s’y mettre, car on sait d’avance que l’on n’en deviendra jamais riche en € (par contre en contacts humains, si, c’était très enrichissant).
Néanmoins … on espère récupérer un peu de cet investissement et ce travail fourni.
Entre auteur et maison d’édition, il y a un contrat en bonne et due forme, qui crée un lien légal, mais aussi une relation de confiance. Sans cette dernière, pas possible de travailler, car l’auteur doit faire confiance quant au nombre de livres vendus, quant à la promotion et la diffusion à faire … pour tout.
Et j’ai travaillé avec plaisir et en bonne entente avec le personnel travaillant chez Carpentier.
C’était un engagement réciproque à fournir de beaux livres, instructifs et qui apportent ce petit plus aux lecteurs-lectrices.
Mais apprendre que l’on n’est que créancier chirographaire (c’est-à-dire : en droit français, un créancier simple, ne disposant d'aucune sûreté particulière à distinguer des créanciers privilégiés, comme le fisc ou les salariés d'une entreprise en difficulté) … ça fait mal.
Je ne toucherai probablement jamais rien sur les ventes réalisées depuis juillet 2015, ni sur la vente des livres encore en circulation … puisque le liquidateur dit déjà maintenant que la perspective de recouvrement de la créance est très incertaine …
et comme toutes les histoires judiciaires prennent des mois et des mois …
Cela veut donc aussi dire qu’un contrat de salarié dans cette maison d’édition, vaut plus qu’un contrat entre la maison d’édition et un auteur - alors qu’il faut savoir que sans auteurs … la maison d’édition n’est rien et n’existerai même pas.
Je ne sais pas comment les autres auteurs de la maison vivent cette situation.
Moi je suis révoltée.
Une rupture de contrat aussi brusque et sans compensation quelconque… Ça laisse un gout très amer en bouche.
On m’écrit que les gestionnaires ont tout fait pour trouver des solutions …. Quand je pose la question ‘quelles sont ces solutions recherchées ?’… on reste silencieux.
Encore …
Je l’encaisse mal, je le dis franchement. Il n’y a pas de honte à avouer qu’une situation est pénible à vivre, même sachant qu’il y a pire malheurs dans le monde.
Tous les investissements du passé se balaient d’un coup, sans pardon. Et cette façon d’agir, ma confiance donnée qui est bafouée ainsi, ça peine, ça déboussole. Mon engagement à livrer qualité et expertise, foutu ainsi à la poubelle, c’est merdeux.
En plus, la communication passe très mal … pas de tél, pas moyen de communiquer autrement que par mail (un seul directeur). D’un côté il vaut mieux, ainsi tout est écrit.
Par contre il faudrait encore recevoir des réponses à ses questions … pendant quatre semaines d’envois multiples de mails, ne recevoir que de temps à autre une réponse avec ‘je vais me renseigner’ … c’est décevant et surtout, c’est irrespectueux en plus d’être très frustrant. C’est un manque total de politesse et de savoir-vivre.
C’est montrer de la part de l’autre que vous ne valez pas une réponse, que vous êtes insignifiant.
Il m’a déjà fallu plusieurs semaines avant d’avoir un relevé des ventes réalisées jusqu’en juin 2016. Il m’a fallu deux déplacements pour récupérer mes affaires du dernier bouquin à cause d’un rendez-vous non respecté de l’autre partie.
Et hélas, … ce n’est pas tout.
Au printemps 2016 je découvre fortuitement via internet que mon livre sur la frivolité au crochet est vendu en italien … depuis janvier 2014 !
Cette vente du droit à la traduction dont je devais être payé 50% au plus tard en octobre 2015… je n’en ai rien su !
Donc pas informée, pas payée non plus, et certainement pas maintenant après cette débâcle.
Le livre « Chiacchierino con l'uncinetto di Viviane Deroover » est d’ailleurs toujours en vente – sur amazon.it, sur différents sites de VPC.
J’ai écrit à l’édition à Rome, au bureau italien à Milan en ce qui concerne les droits d’auteur à payer … on se renvoie la balle comme un jeu de pingpong. Je crains que ce jeu va durer encore un peu...
Du coup, j’en suis à me remettre en question.
Réfléchir et essayer de digérer tout ça.
Prendre du recul. Pouvoir relativiser l’inquiétude.
Arriver à vider sa tête préoccupée….
Se rendre compte que l’on est trop naïve et trop confiante vis-à-vis des autres.
Faut-il investir dans une action juridique qui n’a d’ailleurs aucune garantie d’apporter un résultat positif ?
Est-ce que tout ceci doit être vu comme une opportunité? Est-ce le moment pour virer de cap ?
Faut-il changer sa vision sur le partage et la transmission de ses connaissances?
J’ai beau être gentille, attentionnée, de caractère positif, il faut aussi assumer, en tant qu’indépendant, charges sociales et obligations financières.
Ça stresse un peu. Le corps encaisse jusqu’à un certain degré. Là, j’ai mal.
D’après certains, il y aurait encore assez de livres en circulation, mais je ne saurais dire combien ni pour combien de temps.
Désolée de ne pouvoir vous donner plus d’infos.
J’ai encore quelques exemplaires pour mes cours et ateliers suivants. Et puis … ?
Du coup, les démos annoncées pour promouvoir mon petit dernier Locker-Hooking sont annulées, vu que le bouquin ne sera peut-être plus en vente … ou peut-être que si ... pour deux trois semaines … ou plus … ou moins …. Là encore, aucune notion du nombre…
Comment voulez-vous organiser des activités dans les prochaines semaines/mois ?
Pourtant, ça me tenait à cœur de vous communiquer ma passion pour la récup, pour les fils, les tissus, les textiles…
Le futur est toujours imprévisible et fait de surprises, la
vie me l’a apprise à maintes reprises.
Ces surprises peuvent être mauvaises ou bonnes. Je n’ai hélas pas de boule en cristal pour déjà dire maintenant ce que je ferais en 2017, ce que seront les prochains mois.
J’ai toujours rebondi, mais avec le temps, on s’use …
Il me faudra du temps pour trouver une solution - sans pour autant me faire trop d’illusions.
En attendant, mes créations sont toujours mes créations, je garde le droit d’auteur, « non rémunéré » bien sûr, et j’espère que l’on respectera ceci.
Ces surprises peuvent être mauvaises ou bonnes. Je n’ai hélas pas de boule en cristal pour déjà dire maintenant ce que je ferais en 2017, ce que seront les prochains mois.
J’ai toujours rebondi, mais avec le temps, on s’use …
Il me faudra du temps pour trouver une solution - sans pour autant me faire trop d’illusions.
En attendant, mes créations sont toujours mes créations, je garde le droit d’auteur, « non rémunéré » bien sûr, et j’espère que l’on respectera ceci.
Voilà, ce message pour vous informer de ce qui me tracasse et
perturbe actuellement.
Il me fallait ventiler ce grondement de colère qui bouillonne
au fond de moi pour pouvoir retrouver une certaine sérénité.
Merci pour votre persévérance si vous m'avez lu jusqu'au bout 😥
décembre 07, 2016
décembre 05, 2016
Workshop kantbreien - Atelier TricotDentelle
16 december 2016 - mijn laatste workshop van dit jaar !!!
waar? ---> De Roopoorte
Beenstraat 2 9810 Nazareth (bij Gent)
een mooie groooooote winkel met alles wat je nodig hebt om met draadjes te spelen ...
alle info hier ...
que les tricoteuses francophones qui sont dans le coin, n'aient pas peur.
Je parle NL aussi bien que FR et vice-versa ...
😤😊😍😄
décembre 04, 2016
-°C
un beau ciel bleu, un soleil radieux, un froid glacial, un sol givré, une bonne promenade et revenir avec son pain ... puis faire une bonne soupe.
un dimanche comme j'aime :-)
un dimanche comme j'aime :-)
🙆🙆🙆🙆🙆🙆🙆🙆🙆🙆🙆🙆🙆
décembre 03, 2016
AIE décembre
Nous voilà à nouveau le troisième du mois pour
le jeu
mensuel
« AIE– trois photos, trois
sujets »
de VéroRêve
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