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noooo not me getting married !!!
It's the theme of the exhibition at the museum of costume and lace here in Brussels. It’s a small
museum in size, but with good exhibitions.
This was about “just married” …
wedding dresses in historical and chronological setting. It was until 1791 that
marriage fell under the jurisdiction of the Church. From then on you had to get
first at town hall.
Beautiful sewing to see here, with beautiful fabrics … a
lot of accessories, information and of course lace…
Wedding dresses came in
every possible colour before the nineteenth century, where tradition dictated that
it had to be white.
The Church encouraged brides to wear white, considered as a
symbol of virginity…
Also from
last years, from Jean Paul Gaultier, very modern, one of the wedding dresses
you always see on the final of a fashion show.
Hier, je suis passé avec ma cousine
Eliane dans le musée du Costume et Dentelle (rue de la violette à Bruxelles). (clicliclic)
Une exposition avec comme fil rouge … la robe de mariée. « Just married »
est une histoire du mariage.
Ce n’est qu’au 19ème
siècle que la robe nuptiale devient blanche après des siècles de belles robes
en couleurs ou noir (question de réutiliser la robe par après ou pour signifier
le deuil ….).
Le blanc, via l’église en tant que symbole de virginité J, ne rentre que doucement dans les coutumes, surtout depuis
que la reine Victoria (1840) et l’Impératrice Eugénie (1852) l’avaient adopté.
Plus
tard, les milieux aisés et les villes reprennent l’idée.
Après la grande guerre, les demi-teintes
(gris, beige) se voient de plus en plus. Maintenant les conventions cèdent souvent
devant les tendances dans la mode.
On voit de moins en moins de voiles et de
traînes … mais ça reste la robe dont rêvent beaucoup de petites filles, pour
que ce jour, elles deviennent une princesse.
Belle mise en scène dans le musée,
mais hélas beaucoup de pièces derrière des vitres.
Un endroit et des stages
spéciaux pour enfants sont prévus.
Et puis, à l’étage dans la textile-box, une chambre
de 50 m2 servant aux jeunes artistes de s’approprier l’espace, une présentation
de Olivier Reman, « mélancolie de l’objet ».
Des tableaux mixant un
objet textile détourné et des références à la peinture Flamande. Fascination d’un
idéal esthétique et sacralisation d’un univers poétique et mystérieux …
et oui, on ne jette plus les garnitures (boules) de Noël ...
In the
museum, a space of 50 m2 is for an artist to present his/her own work.
Olivier
Reman shows that Flemish painting is his source of inspiration and opposes it
to an object, everyday symbol.
Magnifique ! Du mariage, je n'aime que deux choses : la robe et la fête, alors là, tu me fais plaisir avec ce message. quelles merveilles ! Et quelle fascination avec ces détournements mettant le crochet à l'honneur !
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